Semblable à une ludothèque Ce monde glorifie l’échec. En ayant pour seule vocation La recherche de célébrité Les nouveaux couronnés de jonc Perdent toute crédibilité Symboles d’un malaise profond.
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Ces terribles figures de proue En sévissant sans préavis Organisent chaque mauvais coup Comme un malfaisant lobby A l’origine empire martial Ils devinrent persona grata Pour tout ambitieux escroc En quête du parfait numéro C’est en couvrant les corps d’un drap Qu’ils parachèvent leur vendetta
L’un de nos plus fructueux métiers Consiste à servir les indécents En offrant à leur peuple opprimé L’aide qu’ils leur voleront pendant longtemps Le peuple qu’ils ont trahi Sera toujours source de profit
L’un de nos plus fructueux métiers Consiste à servir les indécents En offrant à leur peuple opprimé L’aide qu’ils leur voleront pendant longtemps Le peuple qu’ils ont trahi Sera toujours source de profit
Dès l’aube de l’humanité Les luttes d’aujourd’hui comme d’hier Ont stimulé le cœur guerrier Commun à la planète entière L’appel de n’importe quel gourou Justifiera toujours le joug
En cette période de vie moderne Où tout le monde poursuit un but Le drapeau du peuple est en berne Car il n’a pas le bon élu C’est au final le petit coq Et son impérieuse ambition Qui ont vaincu le populo En vidant peu à peu son tronc
Afin de concrétiser nos buts Depuis l’invention de la roue Autrefois simples joueurs de luth Aujourd’hui vicieux cœurs de loup Tenant compte de chaque scénario Où nos semblables se sont fait tuer C’est souvent l’appât d’un magot Qui est à l’origine des faits C’est pourquoi comme pour le Maya L’homme moderne entreprenant Conçoit, construit son...
Cette pluie aux lueurs cristallines A la source du feu meurtrier A vaincu le mangeur de miles Après ses nombreuses traversées Vaisseau léger comme un sampan Arborant le sceau du capon Outil de réclame dans le vent Voguant très haut vers l’horizon
Cette pluie aux lueurs cristallines A la source du feu meurtrier A vaincu le mangeur de miles Après ses nombreuses traversées Vaisseau léger comme un sampan Arborant le sceau du capon Outil de réclame dans le vent Voguant très haut vers l’horizon
Ce nouveau transport parisien Si fier de ses derniers modèles Dut évacuer un à un Les prisonniers de ses tunnels Car cet incident anodin Relâcha un monstre cruel Sur les quémandeurs de sequins Victimes d’un juge incorporel Montés dans le train sans arrêt jusqu’au ciel