Tant de points brillants sur ce manteau noir
Comme autant d’issues en bouts d’entonnoirs
Comme autant de tunnels perçants la nuit noire
Comme autant d’idées illuminées d’espoir
Quand mon regard s’égare sur le ciel nocturne
Quand mon esprit vagabonde d’étoiles en lunes
Quand mon âme brûle d’une rêverie peu commune
Comme jamais cela ne se pourrait sous un ciel diurne
Mon imagination d’un coup s’enflamme et part
Vers ces mondes au-delà de tous nos remparts
Ceux qui nous renvoient à notre propre histoire
Puisque pour eux c’est peut-être déjà trop tard
Comment savoir après des années lumières
Si l’image qu’on perçoit est toujours celle d’une terre
Peut-être sont-ils déjà redevenus poussière
Comme peut-être nous voient-ils encore à l’âge de pierre