Ces reines des abysses vides et froids
Sœurs de notre belle Gaïa
Ont des suivantes dont elles s’entourent
Peut-être par manque de bravoure
Durant leur règne éternel
Leur acolyte habituel
Les suit dans ce sombre infini
Sans jamais le moindre répit
Ces immortelles au cœur de pierre
Retiennent toujours leurs auxiliaires